Avec Dynasty Warriors : Origins, Amelitha nous a fait découvrir un style de jeu particulier : les Musou Games. Et c’est clair que ça envoie !

Type | Hack’n Slash |
Editeur | Omega Force |
Développeur | Koei Tecmo |
Date de sortie | 17 janvier 2025 |
Classification | 16 ans et plus |
C’est en effet une série phare du jeu vidéo créée par Koei Tecmo, dérivée d’un de ses jeux de stratégie. Le premier Dynasty Warriors sorti en 1997 est un jeu de combat. Mais dès le deuxième jeu sorti en 2000 sur PlayStation 2, on trouve les bases de ce style bien particulier. C’est donc 7 ans après le neuvième jeu de la série que nous la retrouvons.
L’histoire se situe dans le roman historique chinois “l’Histoire des Trois Royaumes”, 200 ans avant notre ère. Dynasty Warriors : Origins sent la remise au goût du jour de la licence en abandonnant son chiffre, mais c’est bien le dixième de la série.
Les jeux hack’n slash, on connaît. On se retrouve face à des hordes d’ennemis qu’il faut éliminer. Un style de jeu qui permet de bien se défouler ! Et les Musou games en sont une sous-catégorie. Ici, en effet, on va retrouver les bases des combats « un contre tous », mais avec des héros particulièrement puissants. Ils sont capables de balayer des dizaines d’ennemis d’un coup de lance et en bataille, les vaincus se comptent en milliers. Donc sur l’aspect défouloir, on est pas mal !!
On y ajoute un aspect stratégie, puisque dans Dynasty Warriors : Origins, vous allez enchaîner les batailles. Vous y aurez des objectifs : des camps à défendre, des alliés à protéger. Vous allez faire progresser le combat jusqu’à mettre le général ennemi au pied du mur et l’affronter !
Alors, est-ce qu’il va être facile de se défouler ? On a passé en revue les mécaniques de jeu et les aides proposées pour lever les éventuels blocages… et il y a encore du travail. On vous dit tout cela dans cette vidéo.
Notre avis
Le jeu nous laisse un goût d’inachevé dans son travail sur l’accessibilité. En effet, sur plusieurs points, on a le sentiment de “trop peu”.
C’est le cas du remapping, limité par zone. Sur l’aspect visuel, on n’a que quelques filtres peu efficaces. Des sous-titres existants, mais pas uniformes dans leur mise en œuvre. Pourtant on y a trouvé de bonnes choses, comme la mise en avant des généraux.
C’est donc bien dommage, car le plaisir et le sentiment de puissance de ces jeux défouloirs sont toujours bien présents !