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On continue notre tour des stands avec celui de Square Enix au coeur du salon. Tout aussi spacieux que celui d’Ubisoft, on y retrouvait une grande scène et deux gros titres en présentation : Just Cause 3 et une version jouable de Final Fantasy 15. Nous nous sommes donc répartis entre les deux stands pour avoir l’occasion de tester les deux. L’occasion, le temps de passer, de faire connaissance avec l’équipe de Square Enix pour nous présenter.
Just Cause 3 est donc un jeu d’action, mais au sens strict du terme. Imaginez un Die Hard ? Et bien devenez un John Mc Lane bien plus velu, mais tout aussi destructeur du nom de Rico et partez à l’assaut de la république bananière de Medici pour en déboulonner le dictateur, Di Ravello à grand renfort d’armes et véhicules pour de nombreuses missions aussi bien dans les airs que sur terre.
Son grappin lui permet d’accrocher les objets pour les faire tomber, sauter, s’en servir comme ancre pour reprendre de la vitesse quand il vole… car oui, avec sa combinaison spéciale, Rico peut se laisser porter par le vent comme un homme-écureuil. De quoi se promener dans ce monde open world aux multiples missions.
Un monde que l’équipe s’accorde à trouver agréable visuellement, mais dans lequel nos testeurs ont eu un peu de mal à se repérer. Tous ont noté qu’il manquait d’indications sur ce qu’il fallait faire. Problème qu’on retrouve souvent pour notre public dans ces jeux au monde ouvert.
Si nous en avons l’occasion nous vérifierons s’il y a des moyens de se repérer plus, notamment sur la mission principale, mais c’est très fun en tout cas.
Quant à Final Fantasy 15, nous avons pu voir le début du jeu, après une cinématique comme Square en a le secret, mais que nous avons passé pour ne pas perdre une seconde de nos précieuses 10 minutes pour tester le jeu. Pour ma part, au lieu de reprendre la partie en cours, j’ai redémarré la partie pour profiter de l’ensemble du tutoriel. Vous incarnez donc le jeune héritier du Roi, Noctis, dans un univers mêlant modernisme (téléphone portable) et magie. On apprend donc au cours d’un entrainement avec votre ami à attaquer, parer, utiliser vos pouvoirs et gérer votre mana en vous déplaçant rapidement en vous téléportant vers des lieux plus sécurisés.
Une fois cette phase d’apprentissage terminée, vous voilà parti pour une chasse au Béhémoth, histoire de vous racheter une voiture avec la prime ! Vous êtes à la tête d’un groupe de 4 amis au look gothique, ça manque d’ailleurs de présence féminine. Les décors et les personnages sont superbes et progresse encore un peu plus dans le réalisme. Légère déception cependant quand on se retrouve face à un mur invisible vous empêchant de plonger ou de grimper les montagnes, mais c’est si grand que ce n’est pas si courant.
En route, nous croisons des troupeaux de créatures, l’occasion de se faire la main. Les combats sont dynamiques et vos compagnons viennent à votre aide, renforçant le côté dynamique puisque ça part dans tous les sens. A voir leur efficacité, mais l’IA semble correcte sur ce premier essai.
Un titre qu’il ne faudra certainement pas manquer !
Notons que nous avons aussi croisé sur le stand une présentation de Goetia, un jeu point and click dans un univers qui m’a fait pensé à Burton développé par Sushee, le premier jeu appuyé par le Square Enix Collective qui a la bonne idée d’aider les studios indépendants comme nos amis de Too Kind Studio. Vous y incarnez un fantôme qui explore un manoir pour comprendre ce qu’il lui est arrivé. On leur souhaite une bonne sortie !
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