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Voici donc l’un des premiers jeux découverts lors de notre visite à la PGW 2015 : le traditionnel Assassin’s Creed au doux nom de “Syndicate” pour cette année.
Cette année, après Paris dans “Unity” qui a divisé les fans, c’est à Londres que nous nous rendons pour découvrir la ville en même temps que Jacob et Evie Frye, frère, soeur et assassins de leur état.
Pour notre part, nous n’en avons découvert qu’une usine où Jacob, l’un de nos assassins, découvre un patron sans pitié et très certainement templier. Une cible de choix donc. Il nous a alors fallu trouver un moyen de passer l’usine de façade en trafiquant les machines pour créer une diversion avant d’entrer au coeur du repère et atteindre notre cible après avoir éliminer quelques sbires sur le chemin.
A titre personnel j’ai trouvé le jeu fluide dans les mouvements de personnage en combat, le système reste très proche de Unity. Nous n’avons pas pu testé les quelques nouveautés, comme le grappin, l’enlèvement de cibles ou les calèches, ou tester les retours d’anciennes fonctionnalités comme attirer l’ennemi, recruter des assassins… mais ce test de 10mn donne envie d’en voir plus.
Pour ceux qui connaissent le jeu, l’immersion est immédiate. L’affichage constant des touches et de leur utilité en bas à droite de l’écran ou des objectifs aident beaucoup.
Pour un style plus épuré que dans les précédents épisodes, l’inteface désormais typique des jeux Ubisoft – avec minimap, touches utiles et objectifs – reste présente, cependant Mario regrette que les touches affichées ne soient pas de la même couleur de celle de la manette, cela l’aide à mieux se repérer. Mais ça reste apprécié.
Si aucun de nos testeurs n’a atteint l’objectif de mission dans le temps de test qui nous était proposé, la plupart se sont bien débrouillés et ont su progresser dans la mission. Ceux découvrant la licence ont apprécié le graphisme et ont su profiter du jeu, mais en 10 minutes, c’était difficile de maîtriser le gameplay.
Les graphismes sont quant à eux toujours agréables, bien texturés, plus sombres que dans Black Flag ou Unity, mais ça colle bien à l’époque et le côté industriel qui naît.
Nico reconnaît que l’utilisation complète de la manette reste compliquée pour lui qui ne contrôle que difficilement sa main gauche, mais il a tout de pu s’en sortir, le plus gros des combats pouvant se faire avec une ou deux touches et le stick directionnel.
Un retour dans l’ensemble satisfaisant de l’équipe sous réserve de tester plus en profondeur. On retrouve en tout cas les qualités du système Ubisoft : une interface simple et utile, un sytème de combat également facile à prendre en main et de nombreuses indications sur ce qu’il faut faire. On est pris par la main, et ça aide pour la plupart de nos testeurs.