Nous sommes donc toujours dans l’immense stand d’Ubisoft avec ses 3 gros espaces dédiés à Rainbow six, Assassin’s Creed Syndicate et celui auquel nous accédons maintenant avec l’équipe au complet : The Division et plus particulièrement sa Dark Zone la partie multi joueur de la futur licence d’Ubisoft

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p style=”text-align: left;”>Un briefing nous explique le contexte du jeu : un new-york détruit par un virus mortel qui a frappé l’humanité de plein fouet en se propageant à grande vitesse. Le monde a sombré dans le chaos et la société telle que nous la connaissons menace d’être détruite… c’est le moment d’activer le dernier rempart de l’humanité : vous, The Division, un groupe d’agents dormants sans lien, mais prêt à se battre pour un lendemain.

C’est donc entre les bandes de pillards et les “nettoyeurs” et leurs terribles lance-flammes qu’il va falloir naviguer et surtout survivre. Et comme si les choses n’étaient pas assez compliquées, nous voilà partis pour la Dark Zone, un espace encore contaminé de New York où on trouve pourtant des objets de grandes valeurs. Encore faut-il réussir à les en extraire…

L’objectif est donc d’entrer dans la zone par équipe de 3 personnes, chacune ayant ses spécialités : un soigneur, un roi de la grenade auto guidée et un pouvant disposer une mitrailleuse automatique dans les points stratégiques. C’est donc 3 équipes de 3 personnes qui s’affrontent pour être la première à extraire son artefact en se débarassant des pillards, des nettoyeurs et bien sûr des joueurs des autres groupes avec qui vous pouvez vous allier… ou pas.

Bon, dans la vidéo ils collaborent, même si ça finit mal, mais nous on a fait dans la finesse : explosion de tout ce qui passe et lutte à mort !

Là aussi l’interface est très visuelle puisque vous avez à l’écran les infos essentielles : barres de vie et les 2 compétences spéciales disponibles ou pas pour chaque membre d’équipe et les ennemis surmontés d’une barre de vie et leur niveau. Simple et efficace. Un rappel des actions de chaque touche aurait aidé, mais on se repère vite.

En lui même, le jeu est très nerveux. Ca tire vite dans tous les sens, on se planque comme on peut, ce qui a perturbé plusieurs de nos testeurs qui ont eu du mal à s’y retrouver. C’est en effet un peu confus et il n’y a pas de mini carte ou de rappel des touches. On meurt certes souvent, mais le temps de retour est court, donc pas trop de frustration.

Dans l’ensemble, l’équipe en sort contente, une bonne expérience de jeu, mais il faudra du temps d’apprentissage pour bien le prendre en main. Alors on attend impatiemment la beta pour laquelle nous sommes tous ressortis avec une clé, ou au pire il faudra patienter jusque mars 2016 !